«La Gaité lyrique»
Lundi 12 février à 15h30,
Maison de la Méditerranée.
Jacques OFFENBACH et Hortense SCHNEIDER
Quel fabuleux destin que celui d'Hortense Schneider ! Sa rencontre providentielle avec Jacques Offenbach lui fournit dès ses premiers pas le tremplin d'une prodigieuse carrière. Elle est la créatrice triomphale de " La Belle Hélène ". A la scène comme à la ville, elle devient bientôt la " Grande-duchesse de Gerolstein ", incarnant une souveraine plus vraie que nature qui, dès lors, traite d'égale à égal avec tous les Grands de ce monde. Dans l'ambiance délicieusement frivole de la société du Second Empire où accourait toute l’Europe, la diva d'Offenbach entrait à jamais dans la légende !
Avec Sylvie AVELINE, Antoine ABELLO, Olivier PADOVANI, l'ensemble vocal MUSICAVOCE Accompagnement Franck PANTIN
Ont interprété :
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LA BELLE HELENE
La marche des rois (Ensemble MUSICAVOCE)
Amours divins (Sylvie AVELINE) -
ORPHEE AUX ENFERS
Menuet (Antoine ABELLO)
Galop (Ensemble MUSICAVOCE) -
LA GRANDE DUCHESSE DE GEROLSTEIN
Air du général Boum Boum (Antoine ABELLO)
J'aime les militaires (Sylvie AVELINE) -
LA PERICHOLE
Final 1er acte (Ensemble MUSICAVOCE)
Air de la griserie (Sylvie AVELINE) -
LES BRIGANTS
Les bottes (Antoine ABELLO)
Air de Fiorella (Sylvie AVELINE) -
LES CONTES D'HOFFMAN (Acte 1)
Air de Lindorf « dans les rôles d'amoureux » (Antoine ABELLO) -
LA CHANSON DE FORTUNIO (Sylvie AVELINE)
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LA FILLE DU TAMBOUR MAJOR
Je suis la fille du tambour major (Sylvie AVELINE) -
LES CONTES D'HOFFMAN (Acte 3)
La Barcarolle (Ensemble MUSICAVOCE)
Air de Dappertutto « Scintille diamant » (Antoine ABELLO) -
LA VIE PARISIENNE
L'arrivée des étrangers (Ensemble MUSICAVOCE)
Air du brésilien (Olivier PADOVANI, Ensemble MUSICAVOCE)
Trio « Vous serez notre guide » (Sylvie AVELINE, Antoine ABELLO, Olivier PADOVANI)
Nous entrons dans cette demeure (Ensemble MUSICAVOCE)
La veuve du colonel (Sylvie AVELINE)
Air du baron « je vais m'en fourrer jusque là » (Antoine ABELLO)
Final du 3 « soupons » (Ensemble MUSICAVOCE) - Final du 4 « oui voilà la vie parisienne, feu partout »